Madagascar, aidé par la communauté internationale, investit depuis dix ans dans la création d'un réseau de 1,5 million d'hectares d'aires protégées. L'analyse coûts/bénéfices montre que cet investissement est économiquement justifié pour le pays et propose, en identifiant les bénéficiaires, des solutions pour le financement durable des coûts de gestion du réseau (augmentation des droits d'entrée des parcs, taxe verte sur les visas, création d'un fond fiduciaire).
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