Evaluation de l'efficacité de la gestion des aires protégées : parcs et réserves du Tchad

Le Mali possède un réseau composé de onze aires protégées et de six zones dintérêt cynégétique qui couvrent ensemble 4,6% du territoire national. Lévaluaion a porté sur dix aires protégées: la réserve de Biosphère de Baoulé, la future réserve de Biosphère du Baffing Famélé, la réserve spéciale des éléphants du Gourma, les réserves du Soudan et du Baffing Baoulé, le Niénendougou, la réserve spéciale dAsongo Ménaka, la réserve de Tamesna en cours de création et la ZIC de Tidermène Alata.
Les aires protégées de Côte dIvoire sont soumises à de fortes pressions, susceptibles de remettre en cause leur avenir. Les principales pressions identifiées sont le braconnage, lexploitation agricole, lexploitation forestière, la pêche, le prélèvement des produits forestiers non ligneux et ligneux secondaires, les feux de brousse incontrôlés. De plus les aires protégées ne sont pas soutenues par les communautés locales.
La Mauritanie abrite un réseau daires protégées relativement complet et représentatif en ce qui concerne les écosystèmes marins. En revanche, il pourrait être complété par les parties terrestres. Les principales pressions identifiées dans les parcs sont la transformation du milieu, lexploitation minière, la surexploitation des ressources terrestres et des ressources marines, la pollution et le développement de certaines infrastructures.
Ce document présente les résultats de l'évaluation du système des parcs de Guinée Bissau, en particulier les parcs d'Orango, de Jao Viera et Pailào, de cafuda, de Cacheu et l'aire protégée en création à Cantanhez. La méthodologie employée est celle développée par le WWF : méthode d'évaluation rapide et établissement des priorités de gestion des aires protégées (RAPPAM).